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Grail of Deformed Evilness a exactement la même architecture que Blessed in Eternal Cruelty, au centimètre près : les deux albums ont pratiquement la même durée et sont divisés en dix chapitres non titrés ; le black metal cataclysmique est entouré par deux pistes de dark ambiant. Le message est clair : Demonomantic sert pour Swartadauþuz de catalyseur à sa haine la plus brute. En revanche, cet album laisse plus d'impact par sa production plus claire et les cris barbares. Une vraie catharsis ! Jordan Vauvert
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Le corbeau qu'on entendait dans Skalder från Urskogens Dunkla Mystik prend son envol dans Dunkla Klangor... (Kapitel I) et il fait savoir sa présence à grands renforts de croassements stridents, qui sont récurrents sur presque toutes les pistes — c'est une des performances les plus impressionnantes de Swartadauþuz ! Sur un plan plus large, c'est tout son black metal qui décolle : il est plus rapide, plus intense ; le synthé, qui n'est pas mis de côté, élargit le champ de vision. C'est superbe ! Jordan Vauvert
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Un sol recouvert de neige, une silhouette vêtue de noir et un arrière-plan si noir qu'il noircit tout le reste : Vid Skuggornas Svarta Månsken nous accueille ainsi et le black metal qui s'y trouve, direct et simple, est du même acabit. Mais simple ne veut pas dire simpliste : derrière les cris déchirants de N., Swartadauþuz est majestueux et glacial à la guitare.
J'espère que Nordanland aura le droit à une version digitale : j'aimerais savoir jusqu'où peut aller Daudadagr sur un grand format ! Jordan Vauvert
The metal’s band revelatory new record crosses genres and styles, effortlessly combining seemingly incompatible subgenres. Bandcamp Album of the Day Apr 26, 2024